mercredi 29 juillet 2015

Niagara

Annie Edson Taylor (24 octobre 1838 à Auburn, New York – 29 avril 1921) est une aventurière américaine. Le 24 octobre 1901, le jour de ses 63 ans, elle devient la première personne à survivre la descente des chutes du Niagara dans un tonneau en bois.(...)
Son audace lui apporta l'attention des médias, mais pas les richesses qu'elle avait espéré. Son directeur a détourné tout l'argent qu'elle a gagné pour la cascade, et Taylor a vécu dans la pauvreté jusqu'à sa mort le 30 avril 1921 à New-York. Elle avait 83 ans.
(Wikipédia)

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mardi 14 juillet 2015

Adolf Hitler

On a retrouvé le télégramme qui a précipité le suicide d’Hitler
Le télégramme que Hermann Goering a adressé au Führer le 23 avril 1945 vient d’être vendu aux enchères aux États-Unis pour 55.000 dollars. Voici le document qui a signé la fin de Hermann Goering, un des plus hauts dignitaires nazis, et qui a précipité du même coup le suicide d’Hitler. Il s’agit d’un télégramme envoyé le 23 avril 1945 dans lequel Hermann Goering s’adresse au Führer lui-même. Tombé aux oubliettes, le document vient d’être vendu aux enchères dans le Maryland, aux États-Unis, soixante-dix ans plus tard.

Voilà comment. Fin avril 1945, la guerre est perdue pour l’Allemagne nazie. Assaillie à l’ouest par les Américains et à l’est par les Soviétiques, elle est écrasée sous les bombes. Hitler s’est coupé de la réalité, reclu dans son bunker à Berlin. Le Führer n’est plus que l’ombre de lui-même, affaibli par la maladie, oscillant entre l’espoir insensé d’une victoire sur l’armée rouge et totale apathie.
 Les plus hauts dignitaires nazis, réunis autour de lui, voient avec inquiétude leur leader perdre pied et la fin de la guerre arriver. (...)

Finalement, le 11 juillet 2015, le télégramme est mis aux enchères pour 15.000 dollars. Il est vendu 54.675 dollars à un acheteur américain anonyme. La famille de Bradin n’a pas touché un centime. Pas plus que la fille de Goering, qui a récemment essayé de récupérer la fortune de son père confisquée après la guerre. source : http://www.slate.fr/story/104205/telegramme-goering-hitler-suicide-encheres Sur la foi du récit de la crise de désespoir de Hitler du 22 avril, il interprète les propos de Hitler comme un mandat pour négocier ; mais peu après, ce dernier est revigoré et démet le maréchal du Reich de tous ses titres et de toutes ses charges, et fait placer Göring en résidence surveillée au Berghof ; cette disgrâce doit beaucoup aux manœuvres de Bormann, un de ses ennemis les plus acharnés, qui présente la demande de Göring comme une trahison. Dans les derniers jours de la guerre, le 25 avril 1945, Göring est définitivement désavoué, et même condamné à mort par son Führer après avoir tenté de prendre le pouvoir alors que celui-ci s’était enfermé dans le Führerbunker dans Berlin assiégé. Il est remplacé par Robert Ritter von Greim. Hitler lui octroie néanmoins sa grâce au vu de ses services passés, et se contente de le faire assigner à résidence par les SS. Le Führer exclut Göring du parti national-socialiste dans son testament du 30 avril, ainsi que Himmler, avant de se suicider. Quelques jours plus tard, Göring se rend aux Américains en Bavière.
http://www.liguedefensejuive.com/on-a-retrouve-le-telegramme-qui-a-precipite-le-suicide-dhitler-2015-07-13.html

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  1. Naissance : 20 avril 1889
  2. Décès : 30 avril 1945,

la dépression septennale qui a précipité la fin de Hitler :

(période critique septennale des 56 ans et proximité de l'anniversaire)
la situation fin avril : (suicide en épisode critique P17/P19)

avril 1945 (20/04/1889)
Di 15
Lu 16
Ma 17
Me 18
Je 19 P(6) I(26)
Ve 20 P(7)
Sa 21 E(15)
Di 22
Lu 23
Ma 24
Me 25 P(12)
Je 26
Ve 27 I(1)
Sa 28 E(22)
Di 29
Lu 30 P(17) (suicide vers 15h30)
Ma 1 P(18)
Me 2 P(19)
Je 3
Ve 4

lundi 13 juillet 2015

Julia Margaret Cameron

Julia Margaret Cameron (11 juin 1815 à Calcutta – 26 janvier 1879 à Ceylan) est une photographe britannique, surtout connue pour ses portraits de célébrités de son temps.
Elle réalisa aussi des illustrations photographiques inspirées par la peinture préraphaélite anglaise. Photographe amateur devenue portraitiste renommée, Julia Margaret Cameron eut une véritable démarche artistique. Animée par une recherche de la beauté et de l’esthétique, elle cherchait à capter la personnalité des sujets qui posaient pour elle. Cette démarche était novatrice, à une époque où la photographie, technique encore récente, était surtout estimée pour sa précision documentaire. La carrière photographique de Cameron fut courte (environ 12 ans) et commença tardivement dans sa vie. Son travail a eu un impact notable sur la photographie moderne, en particulier ses portraits au cadrage serré et au flou artistique.
(...)
En 1863, alors que Julia Margaret Cameron fêtait ses 48 ans, sa fille aînée lui offrit un appareil photo. Elle débuta alors sa carrière de photographe (...)
(Wikipédia)

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carrière de photographe à 48 ans (période critique septennale des 49 ans).
décès septennal en épisode triplement critique, jour critique émotionnel E1 et intellectuel i9 veille de critique physique P12 à 63 ans et 7 mois (à cinq mois de l'anniversaire 64)



vendredi 10 juillet 2015

Rainbow Warrior

Rainbow Warrior : 30 ans après Il y a trente ans, le 10 juillet 1985, le dernier grand scandale impliquant les services secrets se nouait en Nouvelle-Zélande.
 Il y a trente ans, les services secrets coulaient le Rainbow Warrior, tuant un homme. L'affaire du Rainbow Warrior a marqué une génération. Ce jour-là, dans la baie d'Auckland, deux bombes collées sur la coque du Rainbow Warrior, le bateau de Greenpeace, explosent à trois minutes d'intervalle. Après la première détonation, l'équipage a pu évacuer le bateau mais le photographe néerlandais Fernando Pereira n'en n'a pas le temps. Il est tué dans la deuxième explosion. L'implication française "Combien d'agents français ont échappé à la prison", se demandait sa fille, Marelle Pereira, en 2005. Si la France s'en est pris à Greenpeace, c'est parce que l'organisation écologiste combattait alors les essais nucléaires menés dans les atolls du Pacifique. En septembre, le journal Le Monde démontre que c'est une équipe d'agents de la DGSE qui serait responsable, dirigée par le frère de Ségolène Royal. Le Premier ministre finit par reconnaître le scandale. Edwy Plenel était à l'époque journaliste au Monde, c'est lui qui avait révélé l'existence de la troisième équipe. En 1987, la France versa 8 millions d'indemnités de dollars à Greenpeace. Aujourd'hui, l'épave du guerrier de l'arc-en-ciel repose toujours au large d'Auckland.
http://www.francetvinfo.fr/faits-divers/affaire/rainbow-warrior-30-ans-apres_991317.html

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L’affaire du Rainbow Warrior est une opération commanditée par le Ministre de la Défense français Charles Hernuen 1985avec l'autorisation explicite du Président de la République française François Mitterrand (selon le témoignage de Pierre Lacoste, patron de la DGSE), par laquelle les services secrets français sabordent le navire amiral de l'organisation écologiste Greenpeace, le Rainbow Warrior à quai en Nouvelle-Zélande paré à appareiller pour l'atoll de Mururoa pour protester contre les essais nucléaires français. (Wikipédia)

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apparemment une idée septennale, le commanditaire se trouvant dans sa période critique septennale des 63 ans et celui qui a donné son accord dans celle des 70 ans... 
les exécutants apparemment aussi...


édit :
 l'affaire commence le 19 mars 1985 quand Patrick Careil, directeur de cabinet du ministre de la défense Charles Hernu, est convoqué par celui-ci qui lui demande de préparer une opération contre le Rainbow Warrior (le « Guerrier Arc-en-ciel » en anglais), bateau de l'organisation écologiste Greenpeace amarré à Auckland en Nouvelle-Zélande

la situation de Charles Hernu le 19 mars 1985 est intéressante :
mars 1985 (3/07/1923)
 Je 14
Ve 15
Sa 16
Di 17
Lu 18 I(1)
Ma 19 P(1) E(1)
Me 20
Je 21
Ve 22
Sa 23
Di 24

mardi 7 juillet 2015

Boy A

Le tueur en série d’enfant de Kobe écrit un livre ambigu
Le tueur avait placé la tête coupée de sa victime de 11 ans devant le portail d’un collège de Kobe et avait ressenti l’extase. "Laissez-moi vous avouer quelque chose : j’ai pensé que ce spectacle était de toute beauté", écrit Seito Sakakibara, le pseudonyme d’un tueur en série, mineur au moment des faits et emprisonné pour 2 meurtres d’enfants. "Je me sentais comme si j’étais né simplement pour voir la beauté éthérée de ce qui était en face de mes yeux. Je pensais que je pouvais à présent mourir." Les souvenirs de Sakakibara ont été publiés dans une autobiographie controversée au début du mois de juin. Il y exprime ses regrets pour les meurtres qu’il a commis à Kobe en 1997, mais les décrits avec tant de détails que les lecteurs peuvent s’interroger sur ses véritables sentiments. Seito Sakakibara, qui a maintenant 32 ans et dont le véritable nom n’a jamais été révélé, a assassiné 2 enfants et en a blessé 3 autres, dans des agressions qui ont terrifiées le Japon, au point que l’opinion publique avait demandé des peines plus lourdes pour les criminels mineurs. En réaction, les lois sur la délinquance juvénile s’étaient durcit, baissant l’âge de responsabilité légale à 14 ans au lieu de 16. Dans son livre, le tueur explique que, lorsqu’il était adolescent, il était « un déviant sexuel incorrigible » qui avait obtenu une satisfaction sinistre en disséquant des animaux et, finalement, en tuant des êtres humains. "Lorsque je suis arrivé au collège, je m’étais déjà lassé de tuer des chats, et j’ai commencé à fantasmer sur ce que je ressentirais en assassinant des êtres humains comme moi". Jun Hase En février 1997, alors âgé de 14 ans, Sakakibara a agressé trois petites filles. Le 16 mars, il a assassiné une écolière de 10 ans, Ayaka Yamashita, en lui fracassant le crâne avec un tube d’acier. Le 24 mai 1997, il a étranglé et décapité un garçon de 11 ans qu’il connaissait, Jun Hase, sur les pentes d’une montagne voisine. Il a ensuite porté la tête du garçon jusqu’à la salle de bain de ses parents, où il s’est enfermé et a commis "un acte beaucoup plus odieux que le meurtre." Il a ensuite laissé la tête du jeune garçon devant son collège, accompagnée d’une lettre qui se moquait de la police… Sakakibara a été emprisonné dans une maison de correction médicalisée pour mineurs et, depuis sa libération en 2004, à 21 ans, il gagne sa vie comme ouvrier journalier. Dans l’épilogue de son livre, l’auteur parle de la culpabilité qui l’afflige aujourd’hui et propose des excuses aux parents de ses victimes, affirmant qu’il reconnaît désormais la gravité de ses actes. "Je ne pouvais plus me taire sur mon passé. Je devais écrire. Sinon, je serais devenu fou". Mamoru Hase, le père de Jun Hase, a demandé publiquement que le livre soit interdit. "Le livre complètement piétiné nos sentiments. Il est clair qu’il n’est pas du tout désolé pour ce qu’il a fait". Source : Tueurs en série
http://www.skcenter.org/forum/index.php?showtopic=22323&hl=

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Seito Sakakibara (Sakakibara Seito? - ) est le surnom d'un tueur japonais, mineur au moment des faits..(...)
Comme un mineur délinquant, il a été poursuivi et condamné comme "Boy A". Son vrai nom n'a pas été communiqué à la presse parce que la loi japonaise interdit la publication de l'identification.

Les agressions

Le , Sakakibara attaque deux enfants avec un marteau, dont un reçut une blessure nécessitant deux semaines d'arrêt. Le père de la victime demanda au directeur du collège de Sakakibara de consulter les photos des élèves, sa fille ayant reconnu l'uniforme scolaire que portait celui-ci, mais le directeur refusa.
Le 16 mars, peu après midi, Sakakibara attaque deux nouvelles personnes. La première victime, Ayaka Yamashita (10 ans), est frappée à la tête avec un marteau, la seconde victime (9 ans) est poignardée au ventre avec un couteau. Yamashita est transportée à l'hôpital, et meurt une semaine après en raison d'un traumatisme crânien, l'autre victime fut placée au repos deux semaines.

Le meurtre de Jun Hase

Le 24 mai, Sakakibara tue Jun Hase (11 ans), et cache son cadavre. Hase, qui était un ami du petit frère de Sakakibara, avait un retard mental et était considéré comme un souffre-douleurs, notamment pour Sakakibara.
Le 27 mai à une heure du matin, Sakakibara met la tête coupée de Hase devant le portail du collège Tomogaoka qu'il avait fréquenté, avec une lettre dans la bouche.
Le 4 juin, Sakakibara envoie une deuxième lettre au journal Kobe Shimbun 

(Wikipédia)
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agressions et meurtres ont été commis en jours neutres,  mais période critique septennale des 14 ans et si l'on y regarde de plus près il y a d'autres choses à noter : 
- ils ont été commis le lendemain d'un jour critique physique (d'où éventuellement heure de naissance à vérifier : elle peut décaler les rythmes d'un jour)
10 février 1997 = lendemain de P19 à cinq mois de l'anniversaire 15 
16 mars est lendemain de P7 à quatre mois de l'anniversaire 15 
24 mai est lendemain de P7 (donc comme le meurtre précédent) à un mois et demi de l'anniversaire 15 
27 mai est lendemain de jour critique intellectuel i26 (exhibition et lettre)
4 juin est P19-E15 (lendemain de P18 - i1)(seconde lettre aussi lendemain d'un jour critique intellectuel)
à 33 ans aujourd'hui l'auteur de sa biographie macabre entre dans son année critique intellectuelle i1.