lundi 31 août 2009

Brian Jones

Brian Jones, de son vrai nom Lewis Brian Hopkin Jones, icône des sixties (28 février 1942 à Cheltenham, Gloucestershire - 3 juillet 1969 à Hartfield, Sussex) est un musicien et compositeur britannique. Il est surtout connu pour avoir été le fondateur et guitariste des Rolling Stones, de 1962 à 1969 ainsi qu'un musicien ingénieux (orgue, sitar, mellotron, clavecin, piano, etc.) ayant largement influencé le son de ces derniers dans les années 60.
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Brian Jones meurt peu de temps après, noyé dans sa piscine. Différentes hypothèses sont étudiées dont celle du meurtre. Il est le premier rocker des sixties à être passé de l'autre côté le 3 juillet 1969.

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situation au jour du décès :
27 ans et 4 mois : le délicat moment de l'entrée dans la période critique septennale des 28 ans, qui a vu de nombreux morts...


juillet 1969.(28/02/1942)
Ma 1
Me 2
Je 3 P(6)
Ve 4 P(7)
Sa 5 E(22)
Di 6

il est en outre décédé son jour critique physique P6.
le jour critique physique est, dans de mauvaises conditions, jour des accidents physiques, mais aussi médicaux, (overdoses) et accidents de santé).

j'ai trouvé aussi comme date de décès le 2 juillet mais wikipédia dit le 3.
il est question aussi de Frank Thorogood qui pourrait l'avoir tué, paraît-il mais je n'ai pas trouvé sa date de naissance pour voir où il en était... (les altercations par exemple ont lieu de préférence un jour critique émotionnel)...

maîtres-chanteurs

Tageblatt :
L'ex-amant qui a fait chanter la femme la plus riche d'Allemagne jugé lundi
06/03/2009 11:47:00

Un quadragénaire suisse est jugé à partir de lundi à Munich (sud) pour avoir fait chanter la femme la plus riche d'Allemagne, héritière du groupe BMW, en menaçant de dévoiler des images de leurs ébats.
Helg Sgarbi risque dix ans de prison pour "escroqueries, tentatives d'escroquerie, et chantage" sur quatre femmes fortunées, indique l'acte d'accusation, diffusé avant l'ouverture du procès devant le tribunal correctionnel de Munich. La présence possible au procès de l'héritière du groupe BMW, la milliardaire Susanne Klatten, suscite un très grand intérêt: "plus de 140 journalistes sont accrédités", a indiqué la porte-parole du tribunal.
D'abord Don Juan mythomane puis maître chanteur, Sgarbi a tenté de lui soutirer plus de 340 millions d'euros, et en a obtenu sept millions, explique l'acte d'accusation. C'est dans un centre de remise en forme des Alpes tyroliennes, que Sgarbi, surnommé "le gigolo" par les médias allemands, rencontre en juillet 2007 Susanne Klatten, qui a alors 46 ans. Ses tentatives de séduction sont alors infructueuses.
Helg Sgarbi réitère ses avances à la milliardaire au cours du mois d'août, par téléphone et par SMS, puis en se présentant par surprise sur son lieu de vacances dans le sud de la France, jusqu'à ce qu'elle y succombe. Pour extorquer "un Seven up" - sept millions d'euros - à sa victime, l'amant invente un accident de voiture, qu'il aurait eu aux Etats-Unis et qui aurait laissé une fillette paralysée. Se prétendant alors "conseiller spécial du gouvernement suisse", il raconte devoir indemniser les parents, et avoir besoin en toute urgence de l'aide financière de sa riche amante. Elle lui verse la somme en coupures de 500 euros, rangées dans un carton de déménagement. Leur relation prend fin après deux mois, lorsque Mme Klatten refuse de quitter son mari pour s'installer avec lui, comme le demande son amant, et de lui verser 290 millions d'euros pour "subvenir à leurs besoins". Mais après leur rupture, Helg Sgarbi tente de faire chanter la milliardaire.
Il lui fait parvenir des photos, puis des vidéos des soirées que le couple a passées dans une chambre d'un hôtel Holiday Inn de Munich, où Sgarbi a filmé en cachette leurs ébats. Elle doit lui verser "sept Seven up" - 49 millions d'euros - sans quoi son mari, puis la presse, recevront ces images. La milliardaire ne cède pas et Helg Sgarbi revoit la rançon à la baisse - 10 millions d'euros avec un ultimatum pour le paiement: le 15 janvier 2008.
Mais Susanne Klatten a alerté la police et Sgarbi est arrêté la veille en Autriche. De ses trois autres victimes, des femmes riches, plus âgées que lui, également rencontrées dans de grands hôtels, Helg Sgarbi a obtenu 2,4 millions d'euros, par les mêmes moyens, selon l'accusation.
Selon les médias allemands, une bonne partie de son butin était reversé à son "mentor", Ernano Baretta, un Italien de 63 ans à la tête d'un mouvement sectaire, propriétaire de nombreuses voitures de luxe. Son nom ne figure pas au dossier d'accusation, mais l'un des enquêteurs a déclaré au magazine Der Spiegel que "Sgarbi est l'une de ces personnes qui peut tout à fait être manipulé par quelqu'un comme Baretta". Interpellé en même temps que Sgarbi, il a été depuis acquitté par un tribunal italien, poursuit le magazine. Depuis son arrestation, Helg Sgarbi et ses avocats ont refusé de s'exprimer sur le procès, où les victimes, dont Susanne Klatten, ainsi qu'Ernano Beretta, pourraient témoigner.

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c'est pour l'anecdote car je n'ai pas trouvé beaucoup de détails sur les deux individus, mais l'un semble avoir 42 ans alors que l'autre en a 63 : une idée septennale que tout çà ?
les période septennales sont en effet très florissantes en idées, découvertes et entreprises en tout genre...

dimanche 30 août 2009

L'Homme de Piltdown

Wikipédia :
Charles Dawson (1864 – 10 August 1916) was an amateur British archaeologist who is credited and blamed with discoveries that turned out to be imaginative frauds, including that of the Piltdown man (Eoanthropus dawsoni), which he presented in 1912. Dawson was often present at finds in the archaeological digs, or was the finder himself.

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je n'ai pas trouvé, pour l'instant, la date de naissance précise, mais je pense que c'est à l'entrée de sa période critique septennale des 49 ans que Charles Dawson eu l'idée de découvrir l'Homme de Piltdown.

Edith Lucie Bongo Ondimba

http://www.congopage.com/article/edith-lucie-bongo-ondimba-nee

Edith Lucie Bongo Ondimba, née Sassou Nguesso, †2009, RIP
par webmaster | samedi 14 mars 2009 |
APA - Libreville (Gabon) - La première dame du Gabon, Edith Lucie Bongo Ondimba, est décédée à l’âge 45 ans, ce samedi à 16h20 GMT à Rabat, au Maroc, des suites d’une longue maladie, a annoncé le même le porte-parole de la présidence de la République, Robert Orango Berre.

« La présidence de la République a la profondeur douleur d’annoncer au peuple gabonais, aux institutions de la République, ainsi qu’à tous les amis du Gabon, le décès survenu ce jour, samedi 14 mars 2009, à 16h20 GMT à Rabat, au Maroc, de la première dame, madame Edith Lucie Bongo Ondimba, épouse du chef de l’Etat », a déclaré le porte- parole de la présidence de la République dans un communiqué.

Le communiqué diffusé en boucle par la première chaîne de télévision nationale gabonaise (RTG 1), qui a interrompu ses programmes pour la circonstance, invite la famille présidentielle à ne pas venir à Libreville, mais à rester dans la province du Haut Ogooué (localité où est originaire le chef de l’Etat gabonais), en attendant le programme officiel des obsèques.

Docteur pédiatre, Edith Lucie Bongo Ondimba, fille du chef de l’Etat congolais Denis Sassou Nguesso, est née le 10 mars 1964 à Brazzaville (Congo). Titulaire d’un doctorat en médecine (Brazzaville 1989), elle est devenue l’épouse du chef de l’Etat gabonais en août 1990.

Cette femme, très courageuse et toujours proche de son époux, s’est retirée de la vie publique en 2006. D’abord, hospitalisée en France, elle a été ensuite transférée au Maroc, où elle a passé plus de deux ans. Sa santé était un tabou.

Avec le président Omar Bongo Ondimba, elle a eu deux enfants : Yasmine et Omar Denis.


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L’inévitable polémique
Par Edith Auriale Von Kongopage

Le 7 février, nous relayions avec prudence trois articles laissant entendre que madame Bongo était morte.
Cette thèse a été officiellement réfutée. Edith Bongo étant déclarée en coma dépassé et en état de mort cérébrale. C’est là jouer sur les mots. [1]
Quelque temps plus tard on nous a dit qu’elle allait mieux… nous n’avons pas bien compris les raisons de ces atermoiements.
Il y a quelques jours, on nous disait depuis Libreville, que la ville se préparait à l’officialisation de l’issue fatale.
Le 14 mars, c’est chose faite. Nous ne savons strictement rien sur ce qui aurait pu/dû être une très people télénovela [2] 100% sous régionale.

Edith-Lucie Bongo était, du fait de son mariage plus que par sa naissance, une personnalité publique. A ce titre, elle ne pouvait, prétendre posséder une vie totalement privée. Comment s’étonner, des rumeurs et spéculations qui ont eu pour origine son absence des cotés de son époux quand il était de son devoir de s’y montrer et qui ont été alimentées par les excuses officielles embarrassées des deux palais présidentiels.
Une personnalité publique de ce niveau, ne se déplace pas incognito. Même malade, même en civière, il est impossible de voyager sans une escorte ostentatoire. On l’aperçoit à Nice, en Suisse, au Maroc… On sait désormais sa santé précaire… On n’en connaît pas les raisons. C’est prétexte aux hypothèses les plus folles :
Edith serait frappée de démence…
Elle aurait été le prix exigé par les fétiches de son père…
Elle aurait été maraboutée par une rivale ou par Bongo…
Toxicomane, elle errerait de clinique en clinique et de rechute en rechute…
Elle serait sidéenne en phase finale…
Des dizaines d’autres rumeurs tout aussi farfelues circulent. Parmi elles risque bien de se cacher, indécelable, la vérité.

Seules des indiscrétions, difficilement vérifiables seront à même de nous éclairer. Edith est morte.

La disparition de cette dame laisse planer bien des questions :

Vient-elle de décéder ou comme l’a dit radio trottoirs, depuis un mois les deux palais présidentiels se querellaient-ils autour de la dépouille pour fixer les modalités des obsèques ?
Edith Lucie Sassou Nguesso a-t-elle été le pilote de son destin ou était-il programmé ?
A-t-elle eu le temps d’achever la mission qu’elle s’était ou qu’on lui avait allouée ?
Jeune, belle, instruite, de haut lignage, son mariage avec Omar Bongo ressemble à s’y méprendre à une union arrangée dans la plus pure tradition monarchique ?
Sous quelles conditions l’avait-elle accepté ?
La dignité de son agonie a-t-elle été sacrifiée à la raison d’Etat ?
On prétend, sans doute non sans quelques bonnes raisons, qu’Edith Bongo, richissime, s’est constitué un colossal patrimoine.
Y voyait-elle une juste rétribution pour « service rendu à la nation » ?
Que va-t-il devenir ?
Les relations entre les deux présidents, donc les deux Etats peuvent-elles sortir indemnes de cette épreuve ?
Quelque ait été la courte vie d’Edith Lucie Bongo Ondimba née Sassou Nguesso, nous n’en savons rien, on ne nous en dira pas grand-chose. Nous allons continuer à spéculer et les rumeurs vont circuler. Un petit malin en tirera un film… Très vite des doctorants en histoire vont déposer des thèses contradictoires démolissant toutes le scénario du film et se chamailleront sur des points de détail lors de très sérieux congrès. Mais nous resterons sans certitude.

A l’heure ou la parole est au dithyrambe, il nous reste une question ultime :
Avec sa fortune [3], Edith Lucie Sassou Nguesso, épouse Bongo Ondimba , a-t-elle vécu heureuse ?

Condoléances aux familles éprouvées
Notes
[1] Et les maux :
Coma, état d’inconscience au cours duquel un malade ne répond plus aux stimuli extérieurs. Dans les comas très profonds, la respiration naturelle ne se fait plus et la respiration artificielle est indispensable. Le coma peut durer quelques jours ou, dans les cas rares, plusieurs années ; il évolue après le premier mois vers un état végétatif permanent. Le coma au cours duquel on ne peut plus détecter d’activité électrique dans le cerveau porte le nom de coma dépassé. Certaines de ces pathologies évoluent vers la « mort cérébrale », stade ultime au cours duquel le malade ne peut plus récupérer ses fonctions vitales.

[2] Comme le furent la vie et la mort de la princesse Diana.

[3] Nous suggèrerions volontiers qu’elle serve intégralement à la réduction de la pauvreté, souci primordial de la défunte.

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là aussi la vérification des situations aux moments indiqués ci-dessus est intéressante :

février 2009 (10/03/1964)
Me 4
Je 5
Ve 6 P(6)
Sa 7 P(7)

Di 8
Lu 9


mars 2009.
Me 11
Je 12
Ve 13 P(18)
Sa 14 P(19)

Di 15

là aussi le graphique biorythmique permetde constater que les dates citées dans l'article correspondent aux "paires" de jours critiques physiques P6/7 et P18/19.
Les jours critiques physiques (tous les six jours) sont des épisodes de "débrayage" de l'énergie de l'organisme et c'est la raison pour laquelle malaises et décès arrivent le plus souvent à ce moment là.

Omar Bongo

Wikipédia :
Omar Bongo, de son nom complet El Hadj Omar Bongo Ondimba, né Albert-Bernard Bongo le 30 décembre 1935 à Lewaï, depuis rebaptisée Bongoville, et mort officiellement le 8 juin 2009 à Barcelone, est le deuxième président de la République gabonaise, du 2 décembre 1967 à sa mort.
...
Décès
Le 6 mai 2009, Omar Bongo Ondimba suspend ses activités pour se reposer et faire le deuil de son épouse, Édith Sassou Nguesso, décédée le 14 mars 2009, alors que des rumeurs circulent sur son état de santé[5].

Depuis le 11 mai 2009, le président gabonais était hospitalisé dans un état grave mais stationnaire en Espagne, et non en France, sans doute du fait de l'affaire dite des biens mal acquis. Omar Bongo faisait simplement un bilan de santé, selon la présidence gabonaise, mais il était atteint d'un cancer de la prostate selon un diplomate africain. Le Conseil national de la Communication gabonais s'était alors indigné du traitement de l'information par les médias français « en diffusant des informations non officielles et alarmistes », des démentis repris par le Premier ministre français François Fillon.

Le 7 juin 2009, le site Internet du magazine Le Point annonce son décès, mais le gouvernement gabonais avait alors démenti l'information, et convoqué l'ambassadeur de France Jean-Didier Roisin.

Le 8 juin 2009, sa mort est officiellement confirmée à 14 h 30 par le Premier ministre Jean Eyéghé Ndong dans une déclaration écrite.
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on peut comparer les dates ci-dessus avec le graphique biorythmique puisque

mai 2009 (30/12/1935)
Mai 2009
Ve 1
Sa 2
Di 3 I(26)
Lu 4 P(18) E(22)
Ma 5 P(19)
Me 6
Je 7
Ve 8
Sa 9
Di 10 P(1)
Lu 11 E(1) I 1
Ma 12
Me 13
Je 14
Ve 15

juin 2009.
Sa 6
Di 7 P(6)
Lu 8 P(7) E(1)

Ma 9
Me 10

les jours de fatigue ou de "pépin de santé" sont prioritairement les jours critiques physiques. le jour critique émotionnel est présent parfois le jour du décès mais c'est aussi le critique physique qui semble majoritaire.

ici nous trouvons effectivement :

- le 5 mai un P19, jour critique physique qui est classé "sévère"...
- le 10 mai le jour critique physique le plus sérieux P1
- le 11 mai jour critique émotionnel le plus fort E1
- le 7 et le 8 juin sont une "paire" de jours critiques physiques - les moins "forts" mais souvent présent en cas de problèmes de tension importante (apparemment ils ont pour effet de "booster" pouvant mener dans les cas à risque à des AVC)
- le 8 juin est à nouveau le jour critique émotionnel E1 (comme le 11 mai) double critique puisque aussi P7.

mardi 25 août 2009

les soeurs Papin

Christine Papin est née le 8 mars 1905 - décédée le 18 mai 1937.
Léa Papin est née le 15 septembre 1912 (1)- décédée le 11 septembre 2001
double meurtre le 2 février 1933 alentours 17h30.

(1) on trouve souvent 1911, aussi.

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Christine Papin le 2 février 1933 : elle est à un mois de son 28ème anniversaire donc en pleine période critique septennale. et c'est un lendemain de jour critique émotionnel.

Février 1933 (8/03/1905)
Me 1 E(1)
Je 2
Ve 3

décès de Christine Papin : 18/05/1937
jour critique physique P7 - veille de jour critique émotionnel E1.

mai 1937 (8/03/1905)
Di 16
Lu 17
Ma 18 P(7)
Me 19 E(1)
Je 20





Léa Papin 15/09/1912 (d'après mes trouvailles c'est cette date qui a l'air juste)
situation le 2 février 1933 :
jour neutre mais veille de jour critique physique P18.
20 ans et 5 mois (entrée période critique septennale des 21 ans)

Février 1933
Me 1
Je 2
Ve 3 P(18)

décès : jour neutre.


Léa Papin 15/09/1911
jour neutre mais veille de jour critique émotionnel E1.
21 ans et 5 mois - période critique septennale des 21 ans.
Février 1933
Me 1
Je 2
Ve 3 E(1)


décès : jour neutre.


en fait les deux soeurs sont en période critique septennale au moment du double meurtre, mais je pense que c'est la situation critique de l'ainée qui est probablement à prendre en compte pour ce massacre... - morte prématurément à l'asile à 32 ans et deux mois.

machiavélique

SKCenter :

Assassinée avant le paiement de la rançon

, Caroline Le Gentil, étudiante en droit, âgée de 24 ans lorsqu'elle est capturée puis assassinée.
En 1998, Caroline Le Gentil, fille d'un notaire douaisien, est séquestrée dans un bar lillois dans le but d'extorquer un million de francs à son père. Mais ses deux ravisseurs l'assassinent froidement avant le paiement, en application d'un plan mûrement réfléchi.


Elle n'a pas eu l'ombre d'une chance d'échapper à des meurtriers qui s'étaient préparés de longue date à la capturer, à exiger une rançon, puis à la tuer froidement avant même que ses parents aient l'opportunité de payer pour sa liberté.
Ce 5 mars 1998, lorsque Caroline Le Gentil, 24 ans, pénètre dans le bar l'Hemingway, fermé au public trois mois plus tôt, elle songe sans doute à l'agréable soirée qu'elle va passer avec les deux ex-cogérants de l'établissement. Elle les connaît, puisqu'il s'agit de Jérôme Lucas, 27 ans, un ancien flirt pour lequel elle a toujours le béguin, et de son demi-frère, Sébastien Chanderlot, 23 ans.

En réalité, sa mort est déjà programmée. À vrai dire, les deux jeunes gens n'ont rien à lui reprocher : fille d'un notaire douaisien à l'aise financièrement, elle représente uniquement la cible de leur convoitise. Membres d'une famille qui se débat dans des difficultés financières chroniques, ils espèrent tirer d'elle un million de francs, pour s'acheter un château dans l'Avesnois.
Il était écrit, dans un petit carnet appartenant à Lucas, que Caroline serait ligotée dès son arrivée. Qu'il faudrait lui extorquer sa carte bancaire, son code secret, ses papiers, le numéro personnel de ses parents. Que Chanderlot irait acheter un polaroïd et un drap blanc, pour tirer une photo à envoyer à sa famille. Le plan est suivi à la lettre.
Et la suite est terrible : après avoir été photographiée, et alors même que la rançon n'est pas encore réclamée, Caroline est étranglée avec un torchon. Son corps est ensuite transporté dans un bois de Fournes-en Weppes, près de La Bassée, où il est jeté dans un trou creusé une semaine plus tôt. Ses assassins vont jusqu'à asperger son cadavre d'acide chlorhydrique. Au cours de son procès, Lucas expliquera que c'était pour « accélérer la décomposition du corps »...

Ils avouent la préméditation

Puis les deux compères fuient en Belgique, où ils appellent les parents de Caroline pour exiger la rançon. Ceux-ci reçoivent, quelques jours plus tard, un cliché de leur fille, ainsi qu'une photo de famille trouvée dans son portefeuille, pour prouver que les ravisseurs ne plaisantent pas.
Alors que la négociation se poursuit, la PJ, alertée par la famille de Caroline, finit par remonter la piste, et déterminer que les appels proviennent alternativement de deux cabines téléphoniques situées à Tournai et Charleroi, en Belgique.
Le 16 mars, Jérôme Lucas est arrêté dans cette dernière ville, alors qu'il est en ligne avec le père de Caroline. Son complice est interpellé quelques heures plus tard à Avesnes-sur-Helpe.
Les policiers, qui cuisinent les deux hommes pour délivrer Caroline, sont stupéfaits d'apprendre que la captive est déjà morte depuis onze jours, et retrouvent son cadavre à Fournes-en-Weppes.
Si au cours de l'instruction qui suivra, Lucas assure avoir tué Caroline pour éviter qu'elle ne le dénonce à la police une fois libre, il reconnaîtra enfin, devant la famille de la victime, la préméditation minutieuse et machiavélique de leur forfait, au cours du procès qui se tiendra aux Assises de Douai en novembre 2001. L'avocat général, Luc Frémiot, n'aura pas de mots assez durs pour fustiger la monstruosité des accusés, qui écoperont de trente ans de réclusion. Ayant reconnu publiquement « l'atrocité » de leur geste, ils ne feront pas appel.
Source : Nord Eclair

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certains comportements particulièrement sordides et "machiavéliques" sont souvent liés à la période critique septennale : l'intéressé principal a ici 27 ans et se trouve à l'entrée de cette période, moment le plus fort.
c'est souvent la condition essentielle pour que l'on puisse faire fleurir et mettre à exécution un tel plan et passer outre toutes les inhibitions.

jeudi 20 août 2009

Herbert William Mullin

http://www.tueursenserie.org/article.php?id_article=14

Nom : Herbert William Mullin
Surnom : Aucun
Né le : 18 avril 1947, à Salinas (Californie) - USA

...
Mais son comportement s’aggrava, passant de bizarre à alarmant. Un jour, en 1969, alors qu’il était chez sa sœur, il imita tous les gestes et répéta les mots de son beau-frère durant toute l’après-midi (ces symptômes sont appelés échopraxie et écholalie, et sont caractéristiques de la schizophrénie).
...
victimes :
Lawrence White, October 13, 1972.......P19 - E15

Mary Guilfoyle, October 24, 1972.......P7

Fr Henri Tomei, November 2, 1972......veille E8

Jim Ralph Gianera, January 25, 1973....veille E8
Joan Gianera, January 25, 1973.
Kathy Francis, January 25, 1973.
Daemon Francis, January 25, 1973.
David Hughes, January 25, 1973.

David Allan Oliker, February 10, 1973........P1
Robert Michael Spector, February 10, 1973.
Brian Scott Card, February 10, 1973.
Mark John Dreibelbis, February 10, 1973.

Fred Perez, February 13, 1973. ....neutre

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on remarque que les troubles ont démarré lors de la période critique septennale des 21 ans. (avant 1969)
on remarque aussi que les crimes, sauf le dernier, sont liés à un jour critique soit physique soit émotionnel (c'est un jour critique physique et émotionnel qu'il a commis son premier crime).


(les jours critiques physiques et émotionnels sont "jours de pulsions", plus encore chez les personnes schizophrènes)(les pulsions démarrent la veille après-midi ou fin de journée, la journée cyclique allant de 18H à 18H)

Emile Coué de la Chataigneraie

Wikipédia :
Émile Coué de la Châtaigneraie, né à Troyes le 26 février 1857 et mort à Nancy le 2 juillet 1926, est un psychologue et pharmacien français, auteur d’une méthode de guérison et de développement personnel fondée sur l’autosuggestion. À la fois génial et simple, il explora au sein de la psychologie moderne des voies originales et nouvelles et fut le précurseur de la psychologie comportementale et de la pensée positive.
....
Doué d’un sens remarquable du contact, le jeune apothicaire sait rassurer ses clients en joignant aux remèdes qu’il leur vend des paroles encourageantes. Et les malades qu’il persuade aisément, en sachant trouver les mots justes, de l’efficacité des traitements, s’en trouvent mieux. Progressivement il découvre ce que l’on nommera l’effet placebo. « Vous allez voir, ceci vous fera beaucoup de bien… Et ce n’est qu’un début ! » a-t-il coutume de dire. Les témoignages de reconnaissance affluent bientôt. Son optimisme et son enthousiasme communicatif font merveille et une clientèle de plus en plus nombreuse se presse à son officine.
....
Observation.
Ses premières années d’expérience lui font prendre conscience de l’efficacité de la suggestion et de l’action déterminante de l’imagination dans le processus de guérison. Coué croit à l’action des médicaments. Mais il pressent aussi que notre esprit est capable de prolonger et d'amplifier cette action. Ayant longuement mûri cette intuition et guidé par un sens très sûr de l’observation, il commence à développer les premiers principes sur lesquels il bâtira plus tard sa méthode :

Toute maladie est double, produisant ses effets sur la condition physique du patient, mais aussi sur son moral. En guidant l’imagination de manière positive, il est possible de faire pencher la balance du bon côté et par là même de déterminer la guérison. Ainsi lorsqu’un malade se persuade que la guérison va se produire, celle-ci se produira si elle est possible. Si elle ne l’est pas, il pourra néanmoins obtenir par la suggestion une amélioration optimale de son état.

Parallèlement Coué apprend l'existence d'un médecin original, le docteur Ambroise-Auguste Liébeault qui exerce à Nancy et obtient des résultats étonnants par la pratique de l'hypnose. Il lui rend en 1886 une première visite, et se passionne dès lors pour cette discipline relativement nouvelle fondée sur l'efficacité de la suggestion verbale. Il prend également connaissance des travaux du professeur Hippolyte Bernheim, dans lesquels il trouve la confirmation des principes qu’il pressent et expérimente. Ces deux personnalités représentent l’École de Nancy, courant qui se distingue à l’époque, dans ses conceptions relatives à l’hypnose, de l’École de la Salpêtrière du docteur Charcot.

En 1901, il se rend à Nancy pour approfondir ses connaissances et suit pendant un temps des conférences à la faculté de médecine.

Sa méthode se précise. Elle se fonde sur des principes simples tirés de ses observations :

- Toute idée que nous avons dans l’esprit tend à devenir une réalité dans l’ordre du possible. Ainsi l’idée de guérison peut produire la guérison. Ou bien encore, sur le plan psychologique, considérer comme facile une chose à réaliser en facilite effectivement la réalisation.

- Notre être inconscient ou imaginatif, qui constitue la partie cachée de notre moi, détermine nos états physiques et mentaux. Il est en réalité plus puissant que notre être conscient et volontaire, qu’il englobe entièrement, et c’est lui qui préside à toutes les fonctions de notre organisme et de notre être moral. Donc chaque fois qu’il y a conflit entre l’imagination et la volonté, c’est toujours l’imagination qui l’emporte.

- Imagination et volonté doivent par conséquent travailler en synergie : lorsque la volonté et l’imagination sont en accord, elles ne s’additionnent pas l’une à l’autre, mais leurs forces se multiplient l’une par l’autre.

- L’imagination peut être conduite par le moyen d'une autosuggestion méthodique.
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Emile Coué est décédé à l'entrée de sa période critique septennale des 70 ans (69 ans et 4 mois) le lendemain de son jour critique émotionnel E15 et un jour critique intellectuel i17.
Juillet 1926
Je 1 E(15)
Ve 2 I(17)
Sa 3

pour écouter Emile Coué lui-même :
http://www.archeophone.org/cylindres_textes/methode_coue.php#ecouterlire

Edward Bach

Wikipédia :
Le docteur britannique Edward Bach (24 septembre 1886 - 27 novembre 1936) après avoir fait de la recherche dans le domaine homéopathique, a imaginé et mis au point 38 préparations : il s'agit d'élixirs floraux préparés à partir de pétales de fleurs recueillis, mis dans de l'eau et exposés au soleil, préparations stabilisées par de l'alcool (Brandy) et mise en flacons. Bien que, sur un plan scientifique, les tests d'efficacité des Fleurs de Bach ne montrent pas d'effet supérieur à un placebo, leur usage est néanmoins, de manière surprenante, de plus en plus répandu : les élixirs sont diffusés en France en pharmacie depuis les années 90, après avoir été commercialisés d'abord exclusivement par correspondance et dans les magasins de produits naturels, diététiques, Biocoops etc .Les Fleurs de Bach ont toujours portées le nom de leur fondateur : les fleurs du Dr. Bach ou élixirs floraux du Dr. Bach, ce malgré de retentissantes controverses sur le dépôt d'un label.

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le Dr Bach n'est pas devenu bien vieux : il est mort à 50 ans (50 ans et deux mois)
un jour doublement critique, physique et émotionnel. (P19 - E15)
apparemment il était malade et venait de passer par sa période critique septennale des 49 ans...


novembre 1936 (24/09/1986)
Lu 23
Ma 24 I(9)
Me 25
Je 26 P(18)
Ve 27 P(19) E(15)
Sa 28

mercredi 19 août 2009

Mozart

Wolfgang Amadeus Mozart (né à Salzbourg, principauté du Saint-Empire romain germanique, le 27 janvier 1756 – mort à Vienne le 5 décembre 1791)
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Mozart est décédé lors de sa période critique septennale des 35 ans. (à deux mois de son anniversaire) et la veille de son jour critique émotionnel E22. 
situation :  
Décembre 1791 
Je 1 P(6)
Ve 2 P(7) I(26) 
Sa 3 
Di 4 
Lu 5 
Ma 6 E(22) 
Me 7 P(12) 
jour critique émotionnel et surtout période critique septennale peuvent revêtir une signification particulière chez certains génies qui meurent prématurément... en fait ils ont toujours une fonction particulière... ils sont "faits pour" "changer d'état"...

mardi 18 août 2009

Diane Arbus

wikipédia :
Diane Arbus, de son vrai nom Diane Nemerov (14 mars 1923, New York - 26 juillet 1971, New York) est une photographe américaine.
........
Dépressive, elle se donne la mort le 26 juillet 1971 à Greenwich Village en avalant une quantité importante de barbituriques puis en s'ouvrant les veines.

et wiki allemand précise :
"Nach einem psychischen Zusammenbruch 1957 entschlossen sich beide zur beruflichen Trennung"

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dépressive... septennale : c'est à l'entrée dans la période critique septennale des 49 ans qu'elle se suicide, en jour neutre. (48 ans et 4 mois, deux jours avant son jour critique émotionnel E1)
"1957 psychischen Zusammenbruch" : c'est une autre entrée dans une période critique septennale... celle des 35 ans.

.

dimanche 16 août 2009

Karl Ludwig Kahlbaum

Karl Ludwig Kahlbaum
aus Wikipedia, der freien Enzyklopädie

Karl Ludwig Kahlbaum (* 28. Dezember 1828 in Driesen; † 15. April 1899 in Görlitz) war ein deutscher Psychiater.

Kahlbaum betrieb Studien der Medizin, Naturwissenschaften und der Mathematik an den Universitäten Leipzig, Würzburg, Königsberg und Berlin.

Im Jahre 1854 wurde er zum Thema De avium tractus alimentarii anatomia et histologia nonnulla promoviert. Der seit 1854 approbierte Arzt erhielt 1856 eine Stelle als zweiter Arzt der Provinzial-Irrenanstalt im ostpreußischen Allenberg. Nach seiner Habilitation in der Psychiatrie lehrte er in Königsberg.

Kahlbaum stellte 1863 eine neue Gliederung psychiatrischer Erkrankungen auf, in der er die Hebephrenie und Katatonie erstmals als Krankheiten definierte.

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il est le premier psychiatre allemand qui essaya systématiquement d'élaborer les formes des maladies purement du point de vue clinique.
et c'est à 35 ans - période critique septennale - qu'il a mis au point sa classification des maladies psychiatriques.(« Essai de fonder la psychiatrie comme discipline clinique sur la base de l'empirisme et des sciences naturelles ».)
il est décédé en période critique septennale (70 ans et trois mois)
la veille de son jour critique émotionnel E1 et le lendemain de son jour critique physique P7.


avril 1899 (28/12/1828)
Ma 11
Me 12
Je 13
Ve 14 P(7) I(1)
Sa 15
Di 16 E(1)

samedi 15 août 2009

Lynette Fromme

Wikipédia :
Lynette Alice „Squeaky“ Fromme (* 22. Oktober 1948 in Santa Monica, Kalifornien, USA) ist eine US-amerikanische Attentäterin.

Sie war Mitglied der berüchtigten Manson Family von Charles Manson. 1975 wurde sie wegen ihres Versuchs, den damaligen US-Präsidenten Gerald Ford zu ermorden, zu einer lebenslangen Freiheitsstrafe verurteilt.
....
Attentat
Am Morgen des 5. September 1975 ging Fromme in den Capitol Park von Sacramento. Angeblich wollte sie Schutzmaßnahmen für die berühmten Küstenmammutbäume besprechen. Jedoch war Fromme mit einer Colt-45-Pistole bewaffnet, mit der sie auf den damaligen US-Präsidenten Gerald Ford zielte. Die Waffe enthielt vier Kugeln, aber die Kammer war leer. Die Secret-Service-Sicherheitsagenten hielten die Frau sofort fest. Als man ihr die Handschellen anlegte, versuchte Fromme der Presse zu sagen, dass sie die Waffe nicht abgefeuert hatte. Während eines langwierigen Prozesses weigerte sich Fromme, mit ihrem eigenen Verteidigungsteam zusammenzuarbeiten. Man sprach sie des Versuchs eines Attentats auf einen US-Präsidenten schuldig.

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Lynette Fromme, une ancienne copine et adepte de Charles Manson a été condamnée pour sa tentative d'attentat contre le Président Gérald Ford, le 5 septembre 1975.elle vient d'être libérée, le 16 août 2009 après 34 années de prison et à l'âge de 60 ans. (pas trouvé grand chose sur wiki français)

sa situation des cycles au moment de l'attentat :

Septembre 1975 (22/10/1948)
Lu 1
Ma 2
Me 3
Je 4
Ve 5 E(15)
Sa 6 P(18)
Di 7
Lu 8 I(17)

il s'agit d'un jour critique émotionnel E15, à un mois de ses 27 ans.
((à l'approche, aussi, de sa période critique septennale des 28 ans - entrée à 27 ans et demi)

vendredi 14 août 2009

tuerie de Cuers

Amoklauf von Cuers
aus Wikipedia, der freien Enzyklopädie

Der Amoklauf von Cuers ereignete sich am 23. und 24. September 1995 in den beiden französischen Gemeinden Solliès-Pont und Cuers, im Département Var. Der 16-jährige Student Eric Borel (* 11. Dezember 1978 in Pau; † 24. September 1995 in Cuers) ermordete 15 Menschen, ehe er sich selbst tötete.

Eric Borel wurde am 11. Dezember 1978 als Sohn von Marie Parenti und Jacky Borel in der französischen Stadt Pau geboren. Nach der Trennung seiner Eltern lebte er bis zu seinem 5. Lebensjahr bei den Eltern seines Vaters in Limoges. Nachdem seine Mutter Jean Bichet geheiratet hatte, holte sie Eric in das gemeinsame Haus in Solliès-Pont.

Am 23. September 1995 gegen sechs Uhr abends, tötete Borel in der Küche des Hauses seinen Stiefvater mit einem Kleinkalibergewehr und erschlug seinen Halbbruder. Ca. zwei Stunden später erschoss er seine heimkehrende Mutter. Borel soll dabei nach dem Tod seines Stiefvaters und des Halbbruders und dann nocheinmal nach der Tötung der Mutter, die Leichen entfernt und das Haus gesäubert haben. Danach nahm er das Gewehr und eine Pistole und fuhr mit einem Auto Richtung Cuers. Nach einem von ihm verursachten Verkehrsunfall, setzte er seinen Weg zu Fuß fort.

Nachdem Borel im Freien übernachtet hatte, traf er sich gegen 7:15 Uhr am Morgen mit seinem in Cuers lebenden besten Freund, den er nach längerer Diskussion erschoss. Von nun an schoss Borel auf alles was sich bewegte; Sieben Männer und vier Frauen im Alter zwischen 15 und 77 Jahren wurden getötet, vier weitere Personen verletzt.

Beim Eintreffen der Polizei, ca. 45 Minuten nach Abgabe seines ersten Schusses, richtete sich Borel mit einem Kopfschuss selbst.

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je n'ai pas trouvé de page française.
voici la situation des cycles de l'intéressé au moment du massacre...

septembre 1995 (11/12/1978)
Me 20
Je 21
Ve 22 P(12)
Sa 23 I(26)
Di 24

Lu 25 E(1)
Ma 26

"démarrage" le 23 à 18H c'est donc au moment de l'arrivée d'une nouvelle journée biorythmique, mais un jour neutre (toutefois fin de jour critique intellectuel, mais cycle que je n'ai pour l'instant pas tendance à retenir - mais peut-être à voir).

l'entrée en E1 critique émotionnel se fait dimanche en fin d'après-midi.
rien de probant, donc...

jeudi 13 août 2009

Albrecht Dürer


Albrecht Dürer, (« Albert » la version traduite de son prénom est aussi d'usage pour les francophones), né le 21 mai 1471 et mort en 1528 (6 avril) à Nuremberg est un peintre, graveur et mathématicien allemand.

Avril 1528
Di 1 P(1) E(22)
Lu 2
Ma 3
Me 4
Je 5 I(17)
Ve 6 P(6)
Sa 7 P(7)
Di 8 E(1)

Albrecht Dürer est décédé son jour critique physique P6.

mercredi 12 août 2009

Martha Gellhorn

Martha Gellhorn
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Martha Gellhorn est une journaliste, correspondante de guerre et écrivain, née le 8 novembre 1908 à Saint-Louis dans le Missouri et morte le 15 février 1998 à Londres.

Elle a été lauréate du prix O. Henry Award en 1958.

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j'ai lu qu'elle a mis fin à ses jours en s'administrant du poison : j'ai effectivement trouvé un jour critique émotionnel E15 ce jour là.
(la majorité des suicides ont lieu le jour critique émotionnel ou là veille, à l'arrivée de celui-ci)


novembre 1998 (8/11/1908)
Je 12
Ve 13 I(1)
Sa 14
Di 15 E(15)
Lu 16

mardi 11 août 2009

Cheryl Crane

wikipédia :

Johnny Stompanato, Jr. also known as "Handsome Harry", "John Steele", and "Oscar" (October 9, 1925 – April 4, 1958) was a former United States Marine who became a bodyguard/enforcer for gangster Mickey Cohen. He was also the boyfriend of actress Lana Turner.

Avril 1958
Ma 1 P(18)
Me 2 I(17)
Je 3
Ve 4 E(22)
Sa 5

note : le jour où Cheryl Crane l'a tué, Stompanato était en E22 : c'est ce que je voulais vérifier car les jours critiques émotionnels sont les jours de colère et de disputes/drames conjugaux. c'est donc bien un jour critique émotionnel de Stompanato qu'a eu lieu l'altercation avec sa femme (Lana Turner) qui est suivie par l'intervention mortelle de la fille Cheryl Crane 14 ans et 8 mois à l'époque. (période critique septennale)

Cheryl Crane (born July 25, 1943) is the daughter, and only child of the actress Lana Turner and her second husband, actor-restaurateur Stephen Crane (whom Lana married twice).

At the age of 14, on April 4, 1958, Cheryl stabbed her mother's gangster boyfriend Johnny Stompanato to death.This was ruled a justifiable homicide: she was deemed to have been protecting her mother. Stompanato was well known to have been abusive, extremely jealous of Turner, and had previously pointed a gun at actor Sean Connery, her costar in Another Time, Another Place, only to have Connery take the gun from him, beat him, and force him from the movie set.

note :
situation de Cheryl Crane le jour du drame : jour neutre.

Lana Turner - situation le jour du drame : jour neutre.

(Lana Turner est une actrice américaine de cinéma, née le 8 février 1920 à Wallace dans l'Idaho et décédée le 29 juin 1995 à Century City en Californie, à l'âge de 75 ans.)(c'est la veille de son jour critique physique P6)

sinon deux autres choses intéressantes pour moi :

Years later, Cheryl publicly revealed her lesbianism to her mother, who accepted the news well. Turner said she regarded Cheryl's girlfriend Jocelyn "Josh" LeRoy "as a second daughter".

In her autobiography Detour: a Hollywood Tragedy - My Life With Lana Turner, My Mother (1988), Crane discussed the Stompanato killing publicly for the first time, and admitted to the stabbing. She further alleged that she was subject to a series of sexual assaults at the hands of her mother's fourth husband, actor Lex Barker.

Crane was diagnosed with breast cancer in 1998 and underwent a mastectomy and was treated with radiation and chemotherapy. She has since been in remission.

note :

- Lex Barker (May 8, 1919 – May 11, 1973) (décédé veille de jour critique physique P18 ndlr) was an American actor best known for playing Tarzan of the Apes and leading characters from Karl May's novels.
Lex Barker était marié à Lana Turner de 1953 à 1957 : au moment de ses "sexual assault" envers Cheryl Crane qui a alors 10 ans passés, Lex Barker a ... 34 ans et se trouve au moment de l'entrée dans sa période critique septennale des 35 ans.
c'est la période par excellence de pulsions de certains Messieurs envers les enfants de l'entourage. (vois rubrique "pédophilie septennale" dans mon blog
http://cycleseptennal.blogspot.com/ )

- cancer diagnostiqué en 1998 qui s'est arrêté ensuite si j'ai bien compris.
1998 c'est 55 ans et début de la période critique septennale des 56 ans.
(j'ai trouvé que certains cancers semblent liés à l'arrivée d'une période critique septennale)

Syndrome de Stendhal

wikipédia :
Le syndrome de Stendhal est une maladie psychosomatique qui provoque des accélérations du rythme cardiaque, des vertiges, des suffocations voire des hallucinations chez certains individus exposés à une surcharge d'œuvres d'art. Cette perturbation est assez rare et touche principalement des personnes trop sensibles. Ce syndrome fait partie de ce qu'on peut appeler les troubles du voyage ou syndromes du voyageur.
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Origine

Ce syndrome est appelé ainsi à la suite de l'écrivain français Stendhal qui a vécu une expérience similaire lors de son voyage en Italie, à l'étape de Florence, en 1817.

Il écrit alors :

« J'étais arrivé à ce point d'émotion où se rencontrent les sensations célestes données par les Beaux Arts et les sentiments passionnés. En sortant de Santa Croce, j'avais un battement de cœur, la vie était épuisée chez moi, je marchais avec la crainte de tomber. »
Stendhal n'a rien fait pour s'en prémunir puisque s'asseyant sur un banc de la place, il lut un poème pour se remettre, et vit que ses visions empiraient à la lecture de cette somme de culture ambiante dans les lieux : il fut épris et malade à la fois de tant de profusion.

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Stendhal, de son vrai nom Marie-Henri Beyle, né le 23 janvier 1783 à Grenoble et mort le 23 mars 1842 à Paris, est un écrivain français de la première moitié du XIXe siècle.

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ailleurs il est écrit :
(http://www.maaber.org/issue_april07/depth_psychology2f.htm)

Stendhal, dans ses journaux de voyage en Italie, a eu le génie littéraire de décrire le mécanisme du trouble en voyage devant la beauté. Peut-être que l’expérience dont il parle ne lui est jamais arrivée. Peu importe. Ce qu’il nous livre a donné son nom à un ensemble de manifestations pathologiques retrouvées chez de nombreux patients hospitalisés aux urgences psychiatriques de l’hôpital Santa Maria Nuova à Florence.

Syndrome de Stendhal, c’est le nom que Graziella Magherini, psychiatre à Florence, a donné aux diverses formes que peut prendre ce syndrome. C’est à dire, déséquilibre momentané, crises d’angoisses, intenses dérangements somatiques, actes étranges, sensations de dépersonnalisation, idées interprétatives sur la réalité pouvant aller jusqu’à des bouffées délirantes aiguës.

Ce qui rapproche ces touristes qui se retrouvent aux urgences psychiatriques de Florence, c’est que les symptômes arrivent tous lors d’une confrontation directe avec une œuvre d’art ou une ambiance qui amplifie la perception esthétique.

Je vous livre quelques exemples plus concrets et en termes moins psychiatriques. Par exemple donc, le David de Donatello a vu plusieurs touristes se déshabiller devant lui, d’autres se sont couchés par terre en tremblant, d’autres encore se sont évanouis. Le Bacchus du Caravage a été, lui aussi, à l’origine de beaucoup de troubles.

À partir des dizaines de personnes qui ont été amenées aux urgences, il a été possible de repérer qu’il s’agissait en général d’hommes ou de femmes entre vingt et quarante ans, n’ayant pas d’antécédents psychiatriques. Nous avons repéré qu’ils voyageaient à l’écart des groupes. Les troubles sont rapidement guéris, la meilleure thérapie étant le retour dans le pays d’origine.

C’est dans Rome, Naples, Florence, que Stendhal écrit le 22 Janvier 1817 :

Enfin, je suis arrivé à Santa Croce. Là, à droite de la porte, est le tombeau de Michel-Ange ; plus loin, voilà le tombeau d’Alfieri par Cavona. J’aperçois le tombeau de Machiavel ; et, vis à vis de Michel-Ange, repose Galilée… Quelle étonnante réunion ! Mon émotion est si profonde qu’elle va presque jusqu’à la piété. Le sombre religieux de cette église, son toit en simple charpente, sa façade non terminée, tout cela parle vivement à mon âme.

Stendhal se fait ouvrir par un moine la chapelle où se trouvent les fresques du Volterrano et c’est là que nous entrons dans le vif du sujet. Il écrit :

Là, assis sur le marchepied d’un prie-Dieu, j’ai la tête renversée et appuyée sur le pupitre, pour pouvoir regarder au plafond. Les Sibylles du Volterrano m’ont donné peut-être le plus vif plaisir que la peinture m’ait jamais fait. J’étais dan une sorte d’extase, par l’idée d’être à Florence, et le voisinage des grands hommes dont je venais de voir les tombeaux. Absorbé dans la contemplation de la beauté sublime, je la voyais de près, je la touchais pour ainsi dire. J’étais arrivé à ce point d’émotion où se rencontrent les sensations célestes données par les beaux-arts et les sentiments passionnés. En sortant de Santa Croce, j’avais un battement de cœur, ce qu’on appelle les nerfs à Berlin. La vie était épuisée chez moi, je marchais avec la crainte de tomber.

Pourtant, Stendhal retrouve esprits. Il sort de Santa Croce, il va s’asseoir sur un banc et tire de son portefeuille des vers d’un poète italien, Ugo Foscolo. Il va lire et relire les vers de Foscolo avec délice.

Stendhal nous dit que pour sortir de son trouble, il avait besoin de la voix d’un ami afin de partager son émotion. Les vers qu’il lit n’ont pas de défaut à ses yeux. Ils nomment avec grâce, mais surtout avec des mots, ce qui peut rendre fou, c’est à dire ce qui se cache derrière ces tombeaux somptueux et écrasants, ce qui se cache derrière ces toiles imposantes, derrière ces femmes : les Sibylles, au don rare de prédire l’avenir.

C’est justement ce que les touristes n’ont pas pu faire : dire, symboliser leur émoi. Ils ont reconnu quelque chose et n’ont pas pu le nommer. Ce « quelque chose » était déjà en eux. Ils se sont retrouvés dans un lieu où la concentration de beauté a été trop forte. Le voyageur solitaire s’est trouvé dans une sorte de folie du voir. Il a subi son émotion esthétique sans pouvoir ni l’élaborer, ni la sublimer.

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c'est France-Info que j'écoutais tout à l'heure qui m'a fait découvrir le syndrome de stendhal et j'ai pensé là aussi à un effet "période critique septennale".
(une femme russe - hélas pas trouvé l'âge - aurait jeté sa tasse de café contre la vitrine abritant La Joconde)...


Stendhal étant né le 23 janvier 1783 - çà lui est arrivé le - ou aux alentours du 22 janvier 1817 : non seulement c'est la veille de son anniversaire (un autre cycle dont il faut tenir compte) mais c'est l'anniversaire des 34 ans.

ce n'est cependant pas tout à fait l'entrée dans la période critique septennale puisqu'elle ne démarre qu'à 34 ans et demi... mais le 22 janvier date de ses écrits c'est aussi la veille d'un jour critique émotionnel E15...
c'est aussi à partir de cette année là que Henri Beyle semble avoir adopté le pseudonyme de Stendhal...

janvier 1817 (23/01/1783)
Sa 18
Di 19 P(18)
Lu 20
Ma 21 I(9)
Me 22
Je 23 E(15)

Ve 24

la date du décès de Stendhal est intéressante aussi :

mars 1842
Di 20
Lu 21
Ma 22 I(26)
Me 23 P(12)
Je 24 E(22)
Ve 25

décès son jour critique physique P12 et veille de critique émotionnel E22.

lundi 10 août 2009

Marcel Barbeault

Marcel Barbeault

Marcel Henri Barbeault (10 août 1941 à Liancourt, Oise, France - ) est un tueur en série qui a sévi dans les alentours de Nogent-sur-Oise dans les années 1970. Il est probablement l'auteur de sept meurtres de femmes et d'un homme. Ses crimes avaient toujours lieu le soir ou tôt le matin d'où son surnom de « Tueur de l'ombre ».

ses coups de feu/folie ... démarrent à 27 ans et 5 mois... (entrée dans la période critique septennale des 28 ans) le 10 janvier 1969... ils durent sept ans jusqu'à 35 ans, avec apparemment certaines pauses, mais que se serait-il passé s'il n'avait pas été arrêté ?


samedi 8 août 2009

Charles Manson

Charles Manson (12/11/1934)
Chef du "Groupe Satanique" qui a assassiné Sharon Tate en 1969 (9/08/1969) : Manson avait 34 ans et 8 mois : moment de l'entrée dans la période critique septennale des 35 ans..
les périodes critiques sont aussi l'âge où se découvrent les gourous...


Ses adeptes, responsables du meutre de Sharon Tate sont pour deux d'entre eux dans une période critique du cycle septennal :
Patricia Diane Krenwinkel née le 3/12/1947 a 22 ans
Suzan Atkins du 7/05/1948 a alors 21 ans

Plus tard Lynette Fromme qui est née le vendredi 22/10/1948
tente d'assassiner le Président Gerald Ford le vendredi 5 septembre 1975
(jour critique émotionnel jour de passage à l'acte).
sa situation :
Septembre 1975 (22/10/1948)
Lu 1
Ma 2
Me 3
Je 4
Ve 5 E(15)
Sa 6 P(18)

Lynette Fromme se trouve en E15 jour critique émotionnel et veille de P18 jour critique physique.

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les ordres émanant apparemment de Manson on peut regarder sa situation du 9 août 1969 :

août 1969 (12/11/1934)
Ma 5
Me 6
Je 7
Ve 8 I(17)
Sa 9
Di 10 P(18)
Lu 11 E(8)
Ma 12

situation veille d'un jour critique physique P18 - jour de pulsions démarrant effectivement la veille au soir...

édit 29/07/2016 : le drame ayant eu lieu le 8 août au soir et dans la nuit le jour critique intellectuel i17 n'est certainement pas absent en tant qu'élément moteur...

Marilyn Monroe

wikipédia :

Marilyn Monroe, de son vrai nom Norma Jeane Mortenson, est une actrice et chanteuse américaine née le 1er juin 1926 à Los Angeles (Californie) et morte le 5 août 1962 également à Los Angeles.
...........

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Août 1962 (1/06/1926)
Me 1
Je 2
Ve 3
Sa 4 P(12)
Di 5

Lu 6
Ma 7 E(1) I(17)

L'actrice aurait été retrouvée inanimée le 5 août à 4 heures du matin...
le 4 étant un jour critique physique il n'est pas exclu qu'un abus de médicaments soit à l'origine de son malaise puis décès : on en supporte moins un jour critique physique... (c'est le jour des décès par overdoses médicamenteuses ou drogues...)

un drame probablement aussi lié à la période critique septennale des 35 ans dont elle vient de sortir...

Roberto Succo

Roberto Succo
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Roberto Succo, né le 3 avril 1962 à Venise et décédé le 23 mai 1988, est un tueur en série italien qui a sévi en France et en Suisse d'avril 1987 à février 1988.

Biographie
À 19 ans, le 9 avril 1981, il tue son père et sa mère autoritaire (qui l'adorait et le surprotégeait, le portait aux nues) : déclaré schizophrène par les psychiatres (expression du Code pénal italien : « incapable d'entendre et de vouloir »), il ne peut être jugé pour ce crime et est interné en hôpital psychiatrique pour une durée de 10 ans.

Le 15 mai 1986, interné depuis cinq ans, il parvient à s'échapper et se rend en France, où il commet vols, cambriolages, viols, et meurtres. Il a une relation avec une jeune fille de seize ans prénommée Sabrina. Il était considéré comme ennemi public en France, en Suisse et en Italie. Ses crimes ne prennent fin qu'avec son arrestation à Mestre dans la région de Venise le 28 février 1988. Le 1er mars de la même année, il tente de s'échapper par les toits de la prison avant de chuter et se blesser (3 côtes cassées et une luxation de l'épaule).

Moins de trois mois plus tard, le 23 mai 1988, il se suicide dans sa cellule dans la prison de Livourne, avec une recharge de gaz qu'il ouvre dans un sac plastique, avec lequel il a recouvert sa tête. Il échappe ainsi à ses procès, en Italie, en France et en Suisse.


Parcours criminel
Le 9 avril 1981, Roberto tue sa mère Marisa Succo de coups de couteaux, puis traîne son corps dans la salle de bain, la couche sur le ventre dans la baignoire et fait couler l’eau. Il tue ensuite son père Nazario de coups de hachette. Il le traîne jusqu’à la baignoire et le couche par-dessus sa mère.

Le vendredi 3 avril 1987 vers 6 h, à Tresserve, près du lac du Bourget, Roberto tue André Castillo, 38 ans, policier à Chambéry à 50 m de chez lui, d’une balle de 22 Long Rifle à la gorge. Il lui vole par la même occasion son arme de service (un Manurhin 9 mm)

Le 27 avril 1987, dans la région d'Annecy, Roberto enlève France Vu-Dinh, 30 ans, ex-professeur d’anglais. À l'heure actuelle, on ne sait toujours pas ce qu'elle est devenue. Lors d'une interview, Roberto aurait expliqué aux enquêteurs qu'il aurait vécu plusieurs semaines avec la jeune femme avant de la tuer car celle-ci essayait de s'échapper. Il aurait jeté son corps dans la mer près de Nice mais aucune preuve à ce jour n'a été trouvée.
Le même jour, vers 21 h, le docteur Michel Astoul, 26 ans, disparaît. Le dimanche 18 octobre 1987, au Châtenet (toujours dans la région d'Annecy), dans une grange isolée, on retrouve son corps dans un état de décomposition avancé. Il est mort d'une balle de calibre 9 mm dans la tête (l'arme récupérée du policier Castillo).

Le samedi 24 octobre 1987, Claudine Duchosal, 40 ans, est assassinée chez elle, par Roberto, d'une balle de 9 mm dans la tête, à Menthon-Saint-Bernard près de Veyrier du lac.

Le 28 janvier 1988, Roberto tue le policier Michel Morandin, 35 ans, à Toulon au seuil de la porte d'entrée de l'hôtel Prémar de trois balles de calibre 357 Magnum : l'une dans la jambe, une autre dans le bras gauche, la dernière derrière l'oreille. Un autre policier, Claude Aizzi, a été blessé lors de l'intervention.

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Roberto Succo est un exemple intéressant de la manifestation des pulsions des jours critiques physiques et émotionnels biorythmiques : c'est apparemment un bonhomme qui fonctionnait d'après ces pulsions cycliques et la plupart de ses crimes et autres agissements, passages à l'acte, correspondent à un jour critique, le jour même ou le jour à côté.

reprenons les dates :
9 avril 1981 (meurtre des parents) : P1 jour critique physique - i 17 jour critique intellectuel. proximité date anniversaire (3/4/1962).
15 mai 1986 (fuite) : veille de P1 jour critique physique. à un mois et demi de son anniversaire.
3 avril 1987 (André Castillo) : P1 jour critique physique. jour de l'anniversaire.
27 avril 1987 (France Vu-Dinh - Michel Astoul) : lendemain de P1 jour critique physique. anniversaire à 3 semaines environ.
24 octobre 1987 (Claudine Duchausal) : jour neutre.
28 janvier 1988 (Michel Morandin) : lendemain de P1 jour critique physique.
1er mars 1988 (tentative de fuite) : P12 - E1 jour critique physique et critique émotionnel.(doublement critique donc)
23 mai 1988 (suicide) : veille de E1 jour critique émotionnel.

ce qu'il faut savoir :
jour critiques physiques et jours critiques émotionnels sont des jours de pulsions qui "font agir" : ils poussent à passer aux actes, à bouger.
si l'on "mijote" quelque chose, c'est l'arrivée d'un jour critique - selon le cas physique ou émotionnel - qui va nous faire agir.
les jours biorythmiques démarrent la veille au soir : le suicide est de ce fait à mettre sur le compte du jour critique émotionnel (typique jour de suicide).
il en est de même en général des actions menées la veille, à l'arrivée d'un jour critique, en principe en fin d'après midi...

vendredi 7 août 2009

Jules Cotard

Wikipédia :
Jules Cotard
Jules Cotard, né le 1er juin 1840 à Issoudun (Indre) et mort le 19 août 1889, fut un neurologue et psychiatre français.
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En psychiatrie, il est connu pour avoir décrit les troubles mentaux en relation avec l'hyperglycémie, mais surtout pour sa description des délires de négation d'organes dans certaines formes d'hypochondrie (Syndrome de Cotard).[1] Dans les formes extrêmes de ce syndrome, les malades vont parfois jusqu'à nier leur propre existence.
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Il mourut le 19 août 1889 d'une diphtérie contractée au chevet de sa fille à laquelle il avait prodigué ses soins dévoués pendant 15 jours.

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çà m'intrigue toujours, lorsque quelqu'un meurt, jeune, en période critique septennale... et son jour critique émotionnel... (49 ans et 3 mois)
il serait aussi intéressant de vérifier s'il n'y a pas un lien entre période critique septennale et les personnes qui souffrent du "syndrôme de Cotard"
parce que je pense que cela n'est pas exclu.


situation au jour du décès : (jour critique émotionnel E1)


août 1889 (1/06/1840)
Ve 16
Sa 17 P(12)
Di 18
Lu 19 E(1)
Ma 20 I(26)
Me 21

jeudi 6 août 2009

David Kelly

http://www.mtl911truth.org/?p=962 :

Détails sur l’affaire David Kelly, inspecteur des armes en Irak
3:24 AM by Mathieu Giroux.
article tiré de http://www.archivesolidaire.org/scripts/article.phtml?lang=1&obid=20515
La guerre en Irak bâtie sur des mensonges

Après avoir été traqué comme une bête par des membres du gouvernement Blair, le conseiller britannique à la Défense David Kelly s’est suicidé le 17 juillet. Il avait joué un rôle important dans la réfutation des mensonges sur les armes de destruction massive en Irak.

Peter Franssen
30-07-2003

Un parmi les milliers de blessés. Pour justifier cette guerre, Bush et Blair ont mis sur pied une véritable usine à mensonges.
(Photo M3M, Geert Van Moorter)

Le gouvernement a gonflé son dossier du 24 septembre 2002 sur l’Irak pour faire paraître plus accablantes les accusations contre Saddam Hussein. Cette information, qu’il tient de source anonyme, a été révélée par le journaliste de la BBC Andrew Gilligan dans son programme radio Today du 29 mai. Les plus hauts cercles gouvernementaux auraient ajouté, sans preuve, que l’Irak pouvait lancer une attaque biologique ou chimique dans un délai de 45 minutes. Le dossier de septembre était annoncé depuis des semaines par le Premier ministre britannique Tony Blair comme la synthèse des preuves qui rendaient nécessaire une guerre contre l’Irak.

Deux jours après son émission radio, Andrew Gilligan publie une colonne dans The Mail on Sunday. Il y écrit que l’histoire des 45 minutes a été ajoutée au dossier sur l’ordre formel d’Alastair Campbell, bras droit de Blair et numéro deux de fait du gouvernement britannique.

La presse britannique et internationale se jette sur l’affaire. Le 25 juin, Alastair Campbell, patron du bureau de communication de Blair déclare: «Le récit de la BBC est un mensonge. Je le répéterai jusqu’à ce que je reçoive des excuses.»

Le lendemain, Campbell envoie à la BBC une note dans laquelle il exige, pour la fin de la journée, une réponse à douze questions concernant la réalisation du reportage. Richard Sambrook, directeur du service d’informations de la BBC répond: «Avec votre lettre, la pression qui émane de Downing Street (le Premier ministre habite au numéro 10 de Downing Street, ndlr) a atteint des sommets inconnus jusqu’ici.»

«Je suis brisé, physiquement et mentalement»

David Kelly s’adresse alors à ses supérieurs. Kelly, 59 ans et père de trois filles, est docteur en microbiologie et lié au ministère britannique de la Défense en tant qu’expert en armement. Dans les années nonante, il s’est rendu trente-six fois en Irak avec l’équipe des inspecteurs en désarmement. Il est donc une source de premier plan concernant les armes de destruction massive. Il avoue à ses supérieurs avoir rencontré Gilligan une semaine avant l’émission radio.

Le ministère de la Défense réagit durement. Le service de sécurité de la Défense interroge le docteur Kelly durant quatre jours. Le 19 juillet, la presse britannique révèle que les enquêteurs sont intervenus brutalement, qu’ils ont menacé Kelly de poursuite sur base de la loi sur le secret. Finalement, la Défense et Kelly ont décidé de ne pas rendre son nom public, car «si cela arrivait, mon nom serait éternellement discrédité», déclare Kelly.

Kelly se cache. Le 15 juillet, il refait surface. A sa propre demande, il témoigne devant la commission des Affaires étrangères sur la décision d’entrer en guerre. Le docteur Kelly est pâle et semble dépassé par les événements. Il parle à voix basse. Certains membres de la commission doivent porter la main à l’oreille pour comprendre ce qu’il dit. Les commissaires l’accablent de 179 questions. John Stanley, par exemple: «Monsieur Gilligan a abusé de vous. C’est très clair pour moi. Pas pour vous?» A quoi Kelly répond, hésitant: «J’ai été mis dans cette position contre ma volonté, mais je ne dirais pas que j’ai été abusé.»

Le lendemain, Kelly doit comparaître devant les parlementaires de la commission des Renseignements et de la Sécurité. L’audition se passe à huis clos. A son issue, Kelly dit à un ami: «Je suis brisé, physiquement et mentalement.» De retour chez lui, Kelly lit dans un journal qu’il s’est comporté devant la commission des Affaires étrangères «comme une vipère tortueuse».

Le même jour, la pression du Premier ministre Blair atteint son paroxysme. Il défie la BBC de nommer la source. Ben Bradshaw, ministre de l’Environnement, en remet une couche: «Aussi longtemps que la BBC ne nie pas qu’il s’agit de monsieur Kelly, nous devons admettre que monsieur Kelly est une taupe.» Le terme est lâché: David Kelly est une taupe, un traître. Un homme qui a toujours fait passer la vérité avant les exigences politiques de Bush et Blair se voit qualifié de traître. L’homme qui comptait sur l’anonymat lit dans le journal qu’il est une vipère tortueuse.

Le 17 juillet, à trois heures de l’après-midi, David Kelly quitte sa maison de la bourgade de Southmoor, près d’Oxford, «pour une petite promenade». Deux heures plus tard, il met fin à ses jours.
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voici la situation des cycles de David Kelly :

juillet 2003 (17/05/1944)
Sa 12
Di 13
Lu 14 I(26)
Ma 15 P(12)
Me 16 E(22)

Je 17
Ve 18
Sa 19

il en ressort

- un jour critique physique P12 le 15 juillet, jour de son témoignage, lors duquel il n'était vraiment pas en bonne forme physique apparemment. P12 est un typique jour de fatigue. il peut encore être accentué en situation de stress.

- un jour critique émotionnel le 16 juillet (E22) le jour où Kelly est "brisé physiquement et mentalement". le jour critique émotionnel est effectivement le jour où se passent de préférence les suicides...

Kelly se serait cependant suicidé le lendemain : il est probable que l'épuisement physique et moral des deux jours y est pour quelque chose. en général la dépression du jour critique émotionnel dure le jour en question, sauf si l'on se trouve dans une situation grave et dont on croit ne pouvoir sortir : elle se poursuite à ce moment là...

il y a discussion à propos du suicide de Kelly : j'ai quelques doute et pense qu'il a probablement quand même dû se suicider mais en raison de sa "mise sous pression"...
à un moment qui coïncidait avec une situation de fragilité.

pas de période critique septennale. (59 ans et deux mois)

dimanche 2 août 2009

Heinrich Hoffmann

Wikipédia :
Heinrich Hoffmann (* 13. Juni 1809 in Frankfurt am Main; † 20. September 1894 ebd.) verwendete auch die Pseudonyme Heulalius von Heulenburg, Reimerich Kinderlieb, Peter Struwwel sowie Polycarpus Gastfenger. Er war ein deutscher Psychiater, Lyriker und Kinderbuchautor und ist der Verfasser des Struwwelpeters.
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Weltweit bekannt wurde er durch sein von ihm selbst mit Bildern ausgestattetes Kinderbuch Der Struwwelpeter, das er zu Weihnachten 1844 für seinen ältesten Sohn schrieb.

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il est décédé en jour neutre à 85 ans et trois mois. (AVC mais pas trouvé si accident et décès même date)

ce qui est intéressant c'est que son Struwwelpeter (des histoires que personnellement je n'aime pas du tout) date de la période critique septennale des 35 ans... (m'étonne pas :-) (1844).

édit je découvre que le fils
"(Carl Hoffmann died at age 27 in Peru of yellow fever.) "
http://www.kirjasto.sci.fi/hhoffman.htm